Sinds augustus weten we het allemaal, maar uit historische
romans konden we al weten dat het vroeger ook heel hard kon regenen, en lang aan een stuk door. Bij Simenon
lezen we:
À ce degré d’obstination,
de violence, la pluie n’était plus seulement de la pluie, le vent du vent
glacé, cela devenait une méchanceté des éléments, et tout à l’heure, sur le quai
mal abrité de la gare de Niort, harassé par cet hiver dont les dernières
convulsions n’en finissaient pas, Maigret avait pensé à une bête qui ne veut
pas mourir et qui s’acharne à mordre, jusqu’au bout.
Cela ne valait
plus la peine de se protéger. Il n’y avait pas seulement l’eau du ciel, mais
celle qui tombait des gouttières en grosses gouttes froides, et il en
dégoulinait sur les portes des maisons, le long des trottoirs où des ruisseaux
faisaient un bruit de torrent, on avait de l’eau partout, sur le visage, dans
le cou, dans les chaussures et jusque dans les poches des vêtements qui ne
parvenaient plus à sécher entre deux sorties.
Ils marchaient
contre le vent, sans parler, penchés en avant, […].
Het komt inderdaad maar
zelden voor dat Maigret zijn onderzoekingen onder een heerlijk zonnetje kan verrichten.
Voor
ons provincialen mag Parijs dan het voorgeborchte van de hemel zijn, maar lekker weer is
het daar ook niet altijd.